Bigrement attractif le Sony CCD-TR840E. Ce camescope Hi8 intègre les dernières innovations de la marque : possibilité de filmer dans le noir, forte autonomie (2 h), etc.
Avec la batterie optionnelle donnée pour 12 h, on bénéficie d’une charge hyper rapide. Bonne sensibilité et fiabilité des automatismes complètent le tableau. Mais il ne dispose pas du time code (le prédécesseur TR810 l’avait) et on aurait préféré un stabilisateur optique.
Un rapport qualité/prix très favorable. Ses atouts sont originaux face au Canon UCX50 (l’autonomie surtout), mais sont stabilisateur est inférieur.
Voilà un modèle extrêmement dépouillé qui reprend grosso modo les caractéristiques du SC55. Pas de viseur mais un écran (7,5 cm de diagonale) très mobile et aucun débrayage, pas même la mise au point.
Le Sony CCD SC65E se distingue essentiellement de son prédécesseur par un zoom numérique ×40 et un écran plus lumineux. Ses points forts : une utilisation très intuitive et le système Info-Lithium, qui affiche en minutes l’énergie restante de la batterie. L’appareil ne possède pas de prise montage, un peu curieux, dans la mesure où le time code RCTC, qu’il enregistre, passe par cette prise pour être exploitable au montage… Heureusement, comme c’était le cas pour le SC55, un adaptateur optionnel permet de remédier à cette absence.
Un peu cher pour du Hi-8, Sony table ici sur son prestige. Certes, le CCD SC65E est joli, convivial et ergonomique, mais l’absence de viseur, de débrayages nous laissant sceptiques à ce prix.
Les caméscopes Video 8 d’épaule forcent toujours le respect, tel le Sony V200 en 8 mm. Début 90 avec l’apparition du Hi-8, les vidéastes attendent avec impatience sa remplaçante. C’est au printemps de cette année que la bonne nouvelle se répand : le Sony V5000 est né. Les amateurs avertis et fortunés (20.000 F) voient leurs rêves se concrétiser avec un camescope au look et à l’ergonomie pros.
Le Sony V5000 bénéficie de tous les réglages possibles, les fonctions d’exposition ou de mise au·point étant intégralement débrayables. Le capteur, un modèle 2/3 de pouce, comporte 495.000 pixels au total (440.000 réellement actifs), fournit des images piquées aux couleurs vives. Il est secondé par un zoom ×8 correspondant à un 44-350 mm en équivalent photo. S’il ne possède pas de position grand-angle, les amateurs d’images « volées » ne sont pas oubliés, un doubleur numérique leur permet de disposer d’un super téléobjectif de 700 mm en équivalent 24 × 36.
Le V5000 bénéficie de cous les perfectionnements : stéréo PCM et FM, réglage manuel des niveaux d’enregistrement audio, prise casque, doublage son, entrées lignes audio. Une entrée vidéo, aujourd’hui absente des camescopes, permet de se servir de sa caméra pour enregistrer une source externe ou réaliser un montage en exploitant le V5000 comme enregistreur. Malgré son côté pro, le V5000 possède un générateur d’effets digitaux, très controversé. Un TBC à mémoire de trame et un réducteur de bruit numérique, efficaces en lecture, augmentent la qualité d’image sur le téléviseur. Deux ans plus tard, le V6000 entre en scène. Reprenant l’ensemble des caractéristiques du cadet, il apporte quelques nouveautés : capteur ½ pouce, objectif ×10 à focale grand-angle (équivalent à un 38 mm photo) et surcout le Time code RC.
Sur tous les caméscopes, il faut changer les têtes après environ 1.500 heures d’enregistrement/lecture (approximativement : 2.500 F). Or, il ne faut pas perdre de vue que ces caméscopes ont été sollicités davantage que d’autres pour de fréquentes opérations de montage. Sachez aussi que certaines séries de Sony V5000 / 6000 ont été équipées de galets presseurs défectueux, d’où un taux de Drop Out anormalement élevé. Vérifier ce point de visu si possible, avant de se lancer dans un achat. Pour le reste, ces caméscopes offrent l’une des meilleures images Hi-8, et figurent avec raison parmi les plus convoités, d’où le prix élevé.
Tout ça sur un camescope video8 entrée de gamme ! Les « fauchés » peuvent bénir le DV d’avoir à ce point titillé l’inventivité des constructeurs sur les modèles analogiques.
Le Sony CCD-TR511E profite des dernières innovations Sony : autonomie de 2 h 30, capacité de filmer dans le noir, zoom ×18… Avec ça, des débrayages très accessibles et une excellente ergonomie. Comme l’Hitachi VME340, il intègre un titreur sommaire et des effets amusants.
Sony a « mis le paquet » sur son entrée de gamme. Bravo pour l’autonomie, l’ergonomie, la sensibilité et les petits « plus »… Une réussite !
Terminé la hantise du voyant batterie qui clignote. Le Sony CCD-TR620E est prêt à affronter de longues journées de tournage sans vous lâcher.
Très bien fini, il multiplie les options de confort (enregistrement 5 secondes, recherche et insertion de séquences, relecture de la dernière séquence, cache objectif intégré, Anti Ground Shooting, remise à zéro du compteur…). Résultat, une prise en main très satisfaisante.
C’est le frère du TR501. Il s’en distingue par son stabilisateur efficace et son zoom numérique ×30. Bonne image 8mm et excellente stabilité.
Le Sony CCD-TR640E est le jumeau du TR511. il s’en distingue uniquement par son stabilisateur numérique. Un dispositif efficace et qui ne dégrade pas l’image dans de bonnes conditions d’éclairage.
Très agréable à utiliser, ce camescope video8 bénéficie d’une bonne sensibilité, d’automatismes fiables, et naturellement des dernières innovations de la marque. Résultat, une prise en main très satisfaisante.
Voilà un modèle sécurisant, plein de bonne idées et qui se distingue, dans sa catégorie, pas sa qualité d’image. La visée couleur aurait constitué un « plus ».
Vive l’Info Lithium et le système Stamina (jusqu’à 8 heures avec la batterie optionnelle NP-F 930 à 1.400 F). La griffe intelligente permet à la batterie de tenir compte, dans ses prévisions, de la consommation de la torche ou du micro.
Notez les nombreux effets ludiques, conviviaux, même s’ils n’apportent rien de décisif à la prise de vues. On regrette la disparition du time code du Sony TR820E, présent sur le TR810 plus ancien.
Un modèle astucieux et fonctionnel, qui compte parmi les plus attractifs dans cette gamme de prix. Dommage que son stabilisateur ne soit pas optique.
Aucun risque de tomber en panne de batterie avec le Sony CCD-TR501E, surtout si vous lui offrez l’accu longue durée optionnel (5 h 30, 500 F). Voilà un vrai problème éliminé ! Il fonctionne aussi avec des piles alcalines.
Pratique dans des conditions de voyage difficiles. Pour le reste, pas de grosse lacune. Enfin, les effets spéciaux lui donnent un petit aspect ludique. Sa faiblesse : des débrayages peu nombreux qui frustreront le créatif.
Pas «d’oubli», mais le nécessaire de base tournage/montage. Ça suffit pour débuter l’esprit serein. Autonomie énergétique inégalée à ce prix.
Le savoir faire Sony s’exprime ici avec ce caméscope video 8 doté d’une ergonomie intelligente et un judicieux panel de fonctions.
Basique, mais richement doté, le Sony CCD-TR425 cumule : autonomie de 2 h, grâce à la batterie Info-lithium fournie, Super NightShot, zoom optique ×18. Ajoutez des débrayages très accessibles, un titreur sommaire et des effets amusants. Côté image, c’est du très bon Video 8 (280 points-ligne), les automatismes se débrouillent correctement et la sensibilité est excellente. Que demander de plus ? Une image Hi-8 et une torche, qu’offre le Sony TR515 (4.000 F). Un stabilisateur que propose de surcroît le TR713 (4.500 F)…
Débrayages, effets spéciaux, prise de montage, autonomie plus qu’honnête, ergonomie bien pensée. Les besoins de base sont comblés par cette entrée de gamme au rapport qualité-prix très séduisant.
Le Sony TRV-94E possède une gamme de débrayages plus restreinte que sur le petit frère TR 3100, dont le stabilisateur et la qualité de l’image se révèlent supérieurs.
En revanche, quel confort, entre le viseur couleurs et le vaste écran couleurs (10 cm de diagonale) ! Comme tous les écrans latéraux, il s’incline à 270° et offre un mode Miroir, permettant à la personne filmée de contrôler l’enregistrement. A cela s’ajoute l’autonomie exceptionnelle : 8 heures avec la batterie longue durée en option et jusqu’à 3 heures avec l’accu fourni. Info-lithium, et doté de la griffe porte-accessoires intelligente, il renseigne en minutes sur le temps restant de batterie. Il justifie enfin son prix par ses possibilités de montage (prise Lanc, ralentis, pause parfaite, time code, Data Code…). De plus, c’est le seul modèle analogique à offrir des effets spéciaux en lecture.
Viseur et écran couleurs, ergonomie remarquable, facilités de montage… Le grand confort à un prix, même en analogique. Son équivalent DV, le TRV7, vaut 5.000 F de plus.