Une nouvelle étape dans la technologie des reflex mono-objectifs 24× 36 mm.
De tout temps, la supériorité technique a occupé une part importante dans l’historique de Nikon. Depuis sa création Nikon a donné à chacun de ses produits l’empreinte de la plus haute précision et d’une technologie de pointe. Le Nikon F2 n’échappe pas à la règle. Sa conception a demandé des années de recherches et de développement et a été précédée de plus d’un demi-siècle d’expérience dans la mise au point de systèmes optiques de haute qualité. Le F2 utilise les caractéristiques techniques les plus révolutionnaires élaborées à ce jour par Nikon, caractéristiques qui ouvrent toute une gamme de possibilités nouvelles à la photographie 24 × 36 mm.
Une nouvelle étape dans la technologie des reflex mono-objectifs 24× 36 mm.
De tout temps, la supériorité technique a occupé une part importante dans l’historique de Nikon. Depuis sa création Nikon a donné à chacun de ses produits l’empreinte de la plus haute précision et d’une technologie de pointe. Le Nikon F2 n’échappe pas à la règle. Sa conception a demandé des années de recherches et de développement et a été précédée de plus d’un demi-siècle d’expérience dans la mise au point de systèmes optiques de haute qualité. Le F2 utilise les caractéristiques techniques les plus révolutionnaires élaborées à ce jour par Nikon, caractéristiques qui ouvrent toute une gamme de possibilités nouvelles à la photographie 24 × 36 mm.
Cette brochure a été faite à l’intention de connaisseurs en photographie qui s’intéressent également à la technique. Elle explique les principales caractéristiques du F2 ; elle montre également comment, loin de laisser tomber en désuétude le système développé à ce jour, la technologie Nikon a œuvré pour améliorer ce système. Elle contribue aussi à expliquer·pourquoi Nikon demeure le premier dans le domaine des reflex mono-objectifs.
Le Nikon F2 est conçu pour offrir un maximum de souplesse d’utilisation, de longévité et de maniabilité. Parmi ses caractéristiques on notera :
Le boîtier est constitué d’une coque en alliage d’aluminium matricé d’une semelle, d’une chambre réflexe, d’un élément avant, d’une plaque supérieure, d’une plaque inférieure et d’un dos. Chaque pièce est usinée avec précision, est traitée contre la corrosion, puis chromée, anodisée, ou revêtue d’émail noir cuit au four. Le F2 comporte 1.506 pièces, viseur Photomic compris.
Le viseur est constitué des éléments de base suivants : un pentaprisme et un oculaire, une lampe témoin, un posemètre à cellules CdS, un couplage mécanique vitesse d’obturation/ouverture, et un système de fixation du viseur sur le boîtier.
L’extérieur du viseur Photomic est constitué d’une coque matricée, d’éléments supérieur et ava nt, revêtus d’émail noir, d’une échelle de sensibilités ASA recouverte chrome satiné. Le dessus du viseur, ainsi que le pourtour de l’oculaire, sont gainés de cuir noir.
Les lignes du boîtier sont plus coulées pour améliorer la stabilité, l’équilibre et le confort de manipulation. La disposition des commandes facilite le maniement de l ‘appareil, tandis que son élégance fonctionnelle extérieure reflète la précision et la qualité que l ‘on peut attendre d’un appareil professionnel de cette classe.
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Reflex mono-objectif |
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24 x 36 mm |
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Interchangeable avec 5 autres viseurs. Couvre 100 % du champ de l’image. Comporte un système TTL d’analyse de la lumière. Donne un grossissement de 0,8X avec |
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Analyse à prédominance centrale, faite à pleine ouverture. Réglage de l’exposition correcte par centrage de l’aiguille. Limite de couplage : 0,5 – 16 000 cd/m2 EV 1- EV 17 (ex. : de f/1,4, 1 s à f /8, 1/2000· s, avec un 50 mm f/1,4, à 100 ASA) Couplage du diaphragme : f /1,2 – f/32. Plus grandes ouvertures acceptées : de f/1,2 à f /5,6. Échelle des sensibilités affichables : 6-6400 ASA Piles du posemètre : deux piles à oxyde d’argent, de 1,5 V , type S-76. Cellules photo-électriques : deux, CdS. Indications lisibles dans le viseur : vitesse d’obturation et ouverture. L’aiguille du galvanomètre est également visible sur le dessus du viseur. |
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Verre de visée interchangeable avec 16 autres verres . |
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Type Nikon F, à baïonnette |
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Présélection automatique. Bouton de contrôle préalable de profondeur de champ. |
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A retour instantané. Peut être verrouillé en position haute à l’aide d’un petit levier de commande. Est de 2 mm plus long que celui du Nikon F. Plus de vignettage, même avec les super-téléobjectifs de plus de 800 mm de focale. (Valeur PO d’environ 140 mm). |
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à rideau, dans le plan focal ; en feuille de titane gaufrée afin d’offrir une meilleure résistance mécanique ; T , B, 1 s au 1/2000 de s. Plage continue de sélection des vitesses entre le 1 /80e (X) et le 1/2 000e. Temps de translation du rideau devant la fenêtre du film : 10 millisecondes. Des vitesses d’obturation très lentes, allant de 2 à 10 s, peuvent être obtenues par couplage du retardateur. Surimpressions également possibles. |
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Maximum 10 secondes (graduations à 2, 4, 6, 8 et 10s). |
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Correction automatique du retard de synchro lors de l’affichage de la vitesse. Vitesse de synchro X : 1/180 et vitesses plus lentes. La prise femelle de synchro PC est filetée pour assurer un bon contact avec le cordon de synchro Nikon. Un plot de contact à la base de la griffe porte-accessoires, susceptible de recevoir un flash magnésique sans fil. |
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Se fait par le levier d ‘armement rapide. Angle de dégagement du dessus du boîtier : 20° Angle d’armement : (avancement d’une vue) : 120°. Armement possible en plusieurs mouvements de faible amplitude. La bobine réceptrice à six fentes, retient parfaitement la languette de l’amorce du film. Le levier joue également le rôle d’interrupteur pour le posemètre. |
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Indique le nombre d’images exposées. Retour automatique à zéro. Graduations : de S à 40. |
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A manivelle ; le réembobinage motorisé est également possible. |
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A charnière ; démontable. |
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Parfaitement interchangeable. Pour le réembobinage à moteur, il faut démonter la clé O-C (ouverture/fermeture du dos) et la fixer sur la poignée du moteur. |
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Incorporée. |
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Métallique, rechargeable, destinée exclusivement au modèle F2 (en option). |
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Longueur : 152,5 mm Hauteur: 102 mm Épaisseur : 65 mm |
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Boîtier F2 : 620 g. Photomic : 220 g |
Par suite du traitement rude auquel il est souvent soumis, le levier d’armement rapide est sans doute l’un des deux ou trois plus importants mécanismes constitutifs de tout reflex monoobjectif 24 × 36 mm. Le mécanisme d’armement rapide du F2 est conçu pour permettre une cadence de prise de vues aussi rapide que possible, tout en restant d’un maniement facile. L’angle de débattement de son levier n’est que de 120° ; en outre, l’armement peut être fait d’un seul mouvement long, ou d’une succession de petits mouvements courts. Le levier d’armement rapide sert à l’avancement du film, à armer l’obturateur, et commande le compteur d’image.
L’angle de débattement du levier étant plus faible, le couple devrait être plus élevé, et, par là, le maniement du levier plus dur. Mais le mécanisme d’armement rapide du F2 est monté sur roulements à billes et bagues téflon, pour en rendre le fonctionnement doux et facile d’une part, et pour alléger le mécanisme et le rendre plus robuste, d’autre part.
L’extrémité du levier est gainée pour adoucir le contact avec le pouce.
Le levier d’armement rapide sert également à commander la mise en circuit du posemètre. Le fait de dégager le levier de 20° du dessus du boîtier met en circuit le posemètre, celui de le repousser à fond sur le boîtier, le coupe.
L’armement rapide et l’interrupteur du posemètre étant commandés par le même levier, il n’est nécessaire ni de déplacer la main, ni d’ôter l’œil du viseur, pour commander le posemètre.
Pour la facilité du chargement de l’appareil, il importe que l’enrouleuse soit conçue de sorte qu’il soit facile de glisser l’amorce du film dans la bobine, et qu’elle y soit retenue sans risque de glissement. Les ingénieurs de Nikon ont procédé à de nombreux essais avant d’arrêter leur choix sur une bobine à six fentes offrant le maximum de sécurité et de simplicité de fonctionnement. L’axe qui commande l’avancement du film passe dans le moyeu de la bobine.
En modifiant les systèmes de liaisons mécaniques à l’intérieur de l’appareil, les ingénieurs Nikon ont pu disposer le bouton de déclenchement de l’obturateur plus en avant de l’appareil. Il devient possible d’actionner consécutivement le levier d ‘armement rapide et le déclencheur, sans pour autant déplacer la main droite.
En réponse à des souhaits formulés par certains utilisateurs, Nikon a également conçu le mécanisme de déclenchement, de façon qu’il fonctionne même si le pouce de l’opérateur appuie encore sur le levier d’armement rapide, en bout de sa course, après que celui-ci ait été actionné en plusieurs mouvements courts. Ceci rend plus facile le déclenchement, exactement à l’instant voulu. Bien que ce genre de manipulation ait généralement pour résultat de détériorer les mécanismes d’avancement du film ou de l’obturateur, il a été rendu possible grâce à l’adjonction d’un système de sécurité à détrompeur au mécanisme d’obturation du F2.
Lorsqu’on appuie sur le bouton de débrayage pour réembobinage situé sur ta semelle du boîtier, le levier d’armement rapide ne fait qu’armer l’obturateur. Il est alors possible de prendre autant de vues que l’on désire sur une seule et même vue, en répétant le processus et, puisque le film ne bouge absolument pas, la superposition des vues sera parfaite.
Le double but de cette couronne, concentrique au bouton de déclenchement. est d’assurer le verrouillage du déclencheur, pour éviter toute manoeuvre intempestive, et de permettre les poses «T». Lorsqu’on soulève la couronne légèrement et qu’on la tourne sur «L» (« Locked » : verrouillé), il devient impossible d’enfoncer le bouton de déclenchement. En position «T», le barillet des vitesses étant réglé sur« B », l’obturateur s’ouvre lorsqu’on appuie sur le bouton ; il reste ouvert jusqu’à ce que la couronne T-L soit ramenée à sa position normale.
Le temps de translation du rideau de l’obturateur devant la fenêtre du film est de 10 millisecondes, ce qui permet une vitesse maximale d’obturation de 1/2000· de seconde. Des innovations de conception portant sur l’axe principal du mécanisme d’obturation et sur son système de ressorts assurent un mouvement précis et constant même à la vitesse maximale. Une plus grande vitesse de mouvement du rideau se traduit également par une plus grande précision de la vitesse d’obturation, mais le «rebondissement» du rideau risque alors d’être accentué. Nikon a résolu ce problème par l’adoption d’un système très étudié de freinage du rideau et d’asservissement du miroir.
Normalement, les réglages précis de l’exposition s’effectuent à l’aide de la bague des diaphragmes. Toutefois, grâce à la précision encore améliorée des cames, et autres pièces qui leur sont asservies, il devient possible de régler le Nikon F2 à des vitesses intermédiaires entre les repères marqués par un déclic et ce du 1/80· au 1/2000· de seconde. Les vitesses intermédiaires plus lentes que le 1/80· sont quelque peu aléatoires, la réponse de la régulation étant alors trop lente.
Par positionnement sur le repère« T » de la couronne de sécurité T-L, et combinaison avec le nouveau retardateur, il devient possible d’obtenir des vitesses d’obturation de 2, 4, 6, 8 et 10 secondes. Ces vitesses lentes s’obtiennent en armant l’obturateur, en réglant le barillet des vitesses sur B, en positionnant sur« T » la couronne T-L et en affichant la vitesse désirée à l’aide du levier du retardateur ; puis, en appuyant sur le bouton de déclenchement de l’obturateur.
Le retardateur permet au déclenchement de ne se faire que 2, 4, 6, 8 ou 10 secondes après avoir pressé le bouton de déclenchement du retardateur. Les chiffres gravés sur le pourtour de l’axe du levier du retardateur indiquent le retard, en secondes. Auparavant, un retard de quelques secondes seulement n’offrait guère d’avantages pratiques; il posait, en outre, des problèmes techniques. Cependant, afin d’utiliser le mécanisme du retardateur pour commander l’obturateur aux vitesses très lentes, les ingénieurs Nikon l’ont perfectionné pour qu’il mesure des temps descendant jusqu’à 2 secondes.
Une plus grande vitesse de translation du rideau devant la fenêtre du film permet la synchronisation X jusqu’au 1/80 de seconde. Un trait rouge indique le 1/80 sur le barillet des vitesses.
La sélection du retard de synchronisation flash est couplé avec le sélecteur des vitesses d’obturation. Aux vitesses entre 1/125 et 1/2000 de seconde, le circuit de synchro est fermé dès que le premier rideau de l’obturateur commence à s’ouvrir (synchronisation avec les ampoules de type FP). Aux vitesses égales ou inférieures au 1/80 de seconde, le circuit s’établit seulement lorsque le premier rideau de l’obturateur est grand ouvert (flash électronique et ampoules de type M et MF). Le schéma ci-contre en montre le fonctionnement.
La molette de réembobinage se sort à mi-course (environ 6 mm) pour permettre un réembobinage plus régulier, ou encore pour dégager le passage de l’adaptateur de la lampe témoin du flash électronique Nikon « Speedlight », ou laisser la place pour le montage d’autres accessoires. Lorsque la molette est tirée à fond, il devient possible de retirer (ou mettre en place) une cartouche.
Facteur supplémentaire de sécurité : il est impossible de retirer à fond, vers le haut, la molette de réembobinage, tant que le dos à charnière de l’appareil n’est pas ouvert, évitant ainsi de décrocher intempestivement la cartouche.
Pour permettre une manipulation plus facile et une meilleure coïncidence des surimpressions, le F2 est pourvu d’un bouton situé sur la semelle du boîtier. Lorsqu’on presse ce bouton, le mécanisme d’avancement du film est débrayé et le réembobinage du film devient possible. Dès que l’on actionne le levier d’armement rapide, le bouton ressort en sa position d’origine : la roue dentée d’avancement se trouve à nouveau engagée. Le bouton de débrayage pour réembobinage se couple également avec le mécanisme de réembobinage de l ‘élément moteur MD-1.
La griffe porte-accessoires est pourvue d’un interrupteur intégré, qui coupe le circuit sauf lorsqu’un accessoire est monté sur la griffe.
La prise de synchro est filetée, pour assurer le bon contact et la bonne fixation du cordon-raccord de synchro Nikon qui évite tout arrachement imprévu. Les cordons-raccords de synchro standards peuvent également se brancher sur cette prise.
Pour faciliter le chargement et le déchargement de l ‘appareil, le dos de celui-ci est monté sur charnière de façon à pouvoir s’ouvrir sans démontage. La clé de verrouillage du dos à rappel par ressort et située sous le boîtier, est ainsi conçue que toute ouverture intempestive soit impossible. Il est cependant également possible de démonter le dos pour le remplacer par les dos magasins spéciaux « motorisés ».
Un cadre à glissière situé au dos de l ‘appareil est destiné à recevoir le couvercle de la boîte du film chargé, servant de rappel du type et de la sensibilité de 1 ‘émulsion et du nombre de vues.
Un nouveau système de suspension du miroir permet de verrouiller ce dernier en position haute à n’importe quel moment, que l’obturateur soit armé ou pas. Les « rebondissements » du miroir, normaux dans ce genre de système, ont été réduits au minimum, à l ‘aide d’un dispositif exclusif d’amortissement. Le levier servant à verrouiller le miroir en position haute se trouve à la base du bouton de contrôle préalable de profondeur de champ. Le fait de tourner le levier de 135° verrouille le miroir en position haute, c’est-à-dire en dehors du trajet des rayons lumineux. Des déclics repèrent les deux extrémités de la course du levier.
Tout reflet se produisant à l’intérieur d’un boîtier altère la clarté et la netteté de l ‘image que l’appareil peut prendre. Et, comme la chambre réflexe est la source principale de reflets parasites dans un reflex mono-objectif, les ingénieurs Nikon ont conçu la chambre réflexe du F2 de telle sorte que les reflets soient pratiquement éliminés. Le nombre de pièces apparentes dans la chambre réflexe a été réduit et des stries ont été rajoutées sur les parois de la chambre. L’intérieur de la chambre est revêtu d’une peinture noir mat qui absorbe la lumière.
Le vignettage de l’image par un miroir reflex devient plus important au fur et à mesure que croît la focale de l’objectif. L’accroissement des dimensions du miroir sont déjà un palliatif, mais, il y a des limites imposées par la technique du montage d’un miroir. Par suite d’une disposition très étudiée de l’axe de basculement du miroir, le F2 a pu être pourvu d’un miroir agrandi. Le vignettage de l’image est éliminé, même lorsque des super-téléobjectifs de plus de 800 mm sont utilisés.
Le viseur Photomic offre une mesure TTL à prédominance centrale de l’exposition, permettant une détermination facile et précise de l’exposition, même dans les situations d’éclairement les plus difficiles. Il est interchangeable avec les viseurs à prisme en toit, de poitrine, sportif, à grossissement 6 × et Photomic F2S.
Les indications d’ouverture de l’objectif et de vitesse sont toutes deux inscrites dans le viseur Photomic, respectivement à gauche et à droite de la plage de l’aiguille du galvanomètre, au centre. Les indications « + » et« – » de part et d’autre du centre de la plage de l’aiguille du galvanomètre indiquent la sur- ou sous-exposition, de façon à faciliter le réglage de l’exposition tout en gardant l’œil collé au viseur.
Pour plus de facilité lorsque l’appareil est tenu au niveau de la taille ou de la poitrine, ou encore monté sur un pied, il est également possible de voir l’aiguille du galvanomètre dans une fenêtre située sur le dessus du viseur.
Les limites de couplage du viseur Photomic sont de EV1 et EV17. La limite inférieure EV1 (1 seconde à f /1,4 avec un film de 100 ASA) a été obtenue grâce à l’utilisation de cellules au CdS de grande qualité, de résistances améliorées, d’un dispositif de mesure stable et de bien d’autres améliorations encore.
Le posemètre est alimenté par deux piles à oxyde d’argent logées dans la semelle du boîtier. Les piles à oxyde d’argent ont une capacité et une résistance au froid supérieures à celle des piles classiques au mercure ; le fait d’en employer deux, garantit un fonctionnement stable du posemètre et une large plage de mesures.
Une lampe témoin destinée à être utilisée avec le flash électronique Nikon Speedlight est intégrée aux viseurs Photomic et à prisme en toit. Elle s’allume lorsque le flash est chargé et prêt à être déclenché; il n’y a donc pas lieu d’ôter l ‘œil du viseur. Lorsque l’on monte sur la griffe porte?accessoires l’adaptateur de lampe témoin, celui-ci actionne un interrupteur faisant partie de la griffe et établit le contact avec le connecteur situé sur le côté du viseur. Un cordon-raccord relie l’adaptateur et la prise de synchro de la torche principale SB-1 de flash Nikon Speedlight.
Six viseurs, 17 verres de visée différents – tous interchangeables -telle est la gamme dont dispose le Nikon F2 Photomic Ensemble, ils permettent plus de 100 combinaisons différentes pour faire face à presque n’importe quelle situation photographique.
Le viseur spécial Photomic F2S est conçu pour être utilisé soit indépendamment, soit en combinaison avec un accessoire de commande d’ouverture à servo-moteur permettant un automatisme intégral du réglage de l’exposition. Comme c’est le cas pour le Photomic, il offre une analyse de lumière à prédominance centrale, mais sa plage de mesure est encore élargie. Le schéma optique de base est le même que celui du Photomic et le système de verrouillage identique. Le posemètre est alimenté par deux piles à oxyde d’argent.
Photomic F2S possède deux voyants lumineux au lieu de la classique aiguille de galvanomètre. Un signe « + » s ‘éclaire en rouge pour indiquer la sur-exposition, un signe« – » pour la sous-exposition. Une fois trouvée l’exposition correcte, les voyants s’allument tous deux simultanément.
L’utilisation de voyants supprime la nécessité d’un microampèremètre classique et celle d’un illuminator de Photomic par conditions de faible éclairement. Elle permet également une robustesse et une stabilité supérieures, la précision de la mesure n’étant affectée ni par les chocs, ni par les changements de position de l’appareil comme cela peut se produire avec un galvanomètre à aiguille.
Sur le Photomic F2S, cette échelle est encore plus élargie que sur le viseur Photomic. El le va de EV – 2 (moins deux, ce qui représente 8 secondes à f/1,4) à EV 17 (1 /2000 à f /8 avec un film de 100 ASA). Les sensibilités ASA affichables vont de 12 à 6 400, tandis que le couplage peut s’effectuer de f /1,2 à f /32.
Pour les expositions de durée supérieure à une seconde, le barillet des vitesses s’arrête au « B » et doit être dépassé en appuyant sur le bouton de déverrouillage au centre du cadran. Il devient alors possible de sélectionner les temps de pose à J’aide du retardateur et de déclencher avec le déclencheur.
Un accessoire de commande d’ouverture, fonctionnant à l’aide d’un servo-moteur et utilisable avec le viseur Photomic F2S, permet la photographie automatique avec les éléments moteurs, intervallomètres ou autres dispositifs de télécommande Nikon disponibles. Utilisé avec l ‘objectif AF-Nikkor annoncé à « Photo Expo 71 », ce dispositif permettra à l’avenir la photographie sans opérateur pour l’observation scientifique, la surveillance, etc. Lorsque le dispositif de réglage automatique de l’ouverture est monté sur le côté du viseur, les données d’exposition fournies par le Photomic F2S commandent le servomoteur ; celui-ci fait tourner la bague du diaphragme, à l’aide de pignons, jusqu’à ce que l’ouverture correcte soit atteinte. Les objectifs Nikkor ordinaires doivent subir une modification mineure consistant en l’addition d ‘une bague dentée entourant la base de l’objectif.
Cet accessoire est alimenté par un accu au Cadmium-Nickel rechargeable, qui met hors circuit les piles à oxyde d’argent logées dans la semelle du boîtier et alimente le viseur Photomic F2S lorsque celui-ci est éq uipé du dispositif.
Viseur |
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Couvre 100 % du champ de l’image Donne un grossissement de 0,8 x avec un objectif de 50 mm réglé sur ?. |
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Analyse de lumière TTL à pleine ouverture. Exposition correcte indiquée par deux voyants lumineux. Si l’un ou l’autre de ces voyants devient rouge lorsque le posemètre est sous tension, il y a sur- ou sous-exposition. Lorsque les deux s’allument en même temps, l ‘exposition est correcte. La vitesse et l’ouverture convenables sont affichées dans le viseur. Limites de couplage : EV – 2 – EV17 (par exemple de 8 s, f /1,4 à 1/2000 s, f/8 sur film de 100 ASA, avec un objectif de 50 mm f /1,4). Couplage du diaphragme : de f/1,2 à f/32. Couplage de la vitesse d’obturation: Couplage direct : de 1 s au 1/2000. Couplage après dépassement manuel de 2 à 8 S. Ouvertures maximales affichables : f /1,2 – f/5,6. Sensibilités ASA affichables : 12 – 6400. Piles d’alimentation du posemètre : 2 piles à oxyde d’argent de 1,5 V. Cellules : deux cellules CdS. Informations relatives à l’exposition : Vitesse, ouverture et symboles + (sur-ex) et – (sous-ex) lisibles dans le viseur. Les indications + et – se retrouvent dans la fenêtre sur le dessus du viseur. |
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270 g. |
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Peut s’utiliser seul ou conjointement avec le dispositif de réglage automatique de l’ouverture. |
Dispositif de commande automatique d’ouverture DS-1 |
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Ce dispositif se monte sur le boîtier en vissant sa molette de fixation dans le pas de vis de la prise de synchro de l ‘appareil. Il se couple directement sur le viseur Photomic F2S. |
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Les informations concernant la vitesse et fournies par le viseur Photomic F2S sont envoyées au dispositif, afin de commander le servo-moteur ; celui-ci fait tourner la bague dentée à 1 ‘arrière de l ‘objectif jusqu’à l’ouverture correcte ; à ce moment, les deux voyants rouges, dans le viseur, s’allument simultanément. |
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Il y a lieu de pré-sélectionner la vitesse et non l’ouverture. |
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Objectifs Nikkor classiques, après une modification mineure. |
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280 g (accu compris). |
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Accu rechargeable au Cadmium-Nickel. Lorsque le dispositif est monté su r le viseur Photomic F2S, cet accu alimente également le posemètre. |
Ce viseur couvre 100 % du champ de l’image; il comporte un oculaire de grand format permettant une visée, une mise au point et un cadrage aisés . Le pourtour de l ‘oculaire se dévisse pour permettre le montage du dispositif de renvoi d’angle, des verres correcteurs de visée, etc. Une lampe témoin de recyclage (pour le flash électro nique Nikon Speedlight) est incorporée.
Le viseur sportif est doté d’un prisme de grandes dimensions et d’un oculaire rectangulaire· permettant la visée avec l’œil à quelque 60 mm du viseur. Il est idéal pour les sports et les sujets en mouvement rapide.
Ce viseur est utilisé pour la photographie « sur le vif », la macrophotographie, la reproduction et toute autre application où la visée à la verticale s’impose. Le capuchon s’ouvre en appuyant simplement sur un bouton, tandis qu’une loupe escamotable aide à parfaire la mise au point.
à grossissement 6×
Conçu à l’origine pour la visée sans parallaxe avec verres de visée réticulés, ce viseur grossit six fois la totalité du champ de visée. Il est également utilisable avec les verres de visée à stigmomètre ou à microprismes, pour les gros plans et la macrophotographie, l’astrophotographie et toutes les applications pour lesquelles la mise au point est critique. Il est possible de corriger l’oculaire en fonction de la vue de l’utilisateur (de – 5 à + 3 dioptries).
En plus du verre de visée monté d’origine sur le F2, il existe 16 autres verres de visée en accessoires. Le tableau ci-dessous indique les caractéristiques et principales applications de chacun de ces verres.
Dépoli Fresnel avec dépoli fin dans un cercle central de Ø 12 mm. Bon pour la photographie générale, plus spécialement avec les longues focales.
Champ dépoli fin avec cercle central clair de Ø 4 mm et réticule. Pour la photographie, l’astrophotographie et autres applications demandant de forts grossissements, également pour visée sans parallaxe sur image aérienne.
Dépoli fin sur toute la surface. Pour la macrographie en gros plans et pour utilisation de longues focales.
Champ dépoli Fresnel avec cercle central de 0 12 mm de dépoli fin et quadrillage horizontal et vertical. Idéal pour la photographie architecturale.
Champ clair à anneaux de Fresnel avec cercle central de Ø 12 mm très lumineux de microprismes pour la visée et la mise au point par éclairement faible. Il existe 4 modèles (G1-G4) correspondant à des objectifs de focales spécifiques. Il ne permet pas de contrôler la profondeur de champ.
Champ clair à anneaux de Fresnel et microprismes sur toute la surface.Permet une mise au point rapide, sur n’importe quelle région du champ, avec un maximum de clarté d ‘un bord à 1 ‘autre par éclairement faible. Existe en 4 modèles (H1-H4) correspondant à des objectifs de focales particulières.
Dépoli de Fresnel avec petit cercle central de mise au point à microprismes et cercle de Ø 12 mm. Convient pour la photographie générale.
Combine les types A et J. Champ dépoli Fresnel avec stigmomètre central de 0 3 mm entouré d’un anneau de microprismes de 1 mm de large. Mise au point rapide aussi bien pour les sujets comportant des droites que pour ceux à contours flou s. Convient pour la photographie générale.
Dépoli fin avec anneaux de Fresnel, et plage circulaire centrale claire de Ø 5,5 mm avec double réticule pour visée aérienne sans parallaxe, ainsi que des échelles millimétriques permettant le calcul du grossissement propre à chaque objet et leur mesure. Image brillante par éclairement faible. Particulièrement indiqué pour les gros plans, la photomicrographie et autres applications exigeant de forts grossissements.
La réputation des objectifs Nikkor, utilisés depuis plus de 12 ans par les professionnels chevronnés, n’est plus à faire. Cette réputation est due à la fiabilité et à la précision Nikon . Partant d’une gamme de 11 objectifs seulement lorsque le Nikon F fut initialement commercialisé, le système s’est constamment accru en nombre et en variété, tant et si bien qu’il existe à ce jour plus de 40 objectifs Nikkor … et plus de 250 accessoires. En outre, Nikon ne cesse de créer de nouveaux objectifs et accessoires pour répondre aux exigences toujours croissantes des photographes.
Chacun de ces objectifs peut être monté sur le Nikon F2 sans modification. Tous peuvent, en outre, être utilisés avec la confiance qu’inspire le fait que le choix des plus grands photographes du monde se porte sur les objectifs Nikkor. Plus de deux millions d’objectifs déjà vendus ont acquis la réputation d’appartenir au plus remarquable système pour photographie en 24 x 36 mm.
Une gamme de plus de 40 objectifs allant du 6 mm « fisheye » au super-téléobjectif de 2 000 m forme un élément indispensable à l ‘ensemble du système Nikon , auquel est maintenant venu se joindre le F2. Il existe 5 « fisheyes » avec des angles de champ de 180° ou 220°, cinq zooms, l ‘extraordi naire PC-Nikkor qui permet les corrections de perspective, le GN Auto Nikkor qui supprime l’empirisme dans la photograph ie au flash grâce au couplage automatique des nombres guides, le Médical-Nikkor Auto, à flash électronique annulaire incorporé, pour la photographie en gros plan dans les domaines scientifiques et industriels, ai nsi qu’une série de super-téléobjectifs Reflex-Nikkor à optique à m1ro1rs permettant une compacité optimale. Vingt des objectifs Nikkor de focales entre 24 et 200 mm ont le même filetage de 0 52 mm pour offrir un maximum d’interchangeabilité des accessoires.
Il y a déjà plusieurs années, Nikon a réussi à faire passer du laboratoire au plan pratique la technique du traitement multicouches, en l ‘appliquant à la fabrication en série des objectifs destinés à la photographie non spécialisée. A l’heure actuelle, ce procédé est appliqué aux 55 mm f /1,2, 35 mm f/1,4, 28 mm f/2 ainsi qu’à d’autres objectifs Nikkor.
Le traitement multicouches mis au point par Nikon (y compris la couche non homogène, unique en son genre) réduit les reflets provenant des surfaces ai r-verre pour éliminer au maximum la perte de lumière à l’intérieur·d ‘un système optique et d’en augmenter ainsi la transmission. De la sorte, les images parasites disparaissent presque intégralement des scènes nocturnes fortement éclairées et des contre-jours. Elles minimisent également les contours brou illés sur l’ensemble de l’image, améliorant donc le contraste de celle-ci.
Le traitement multistrate maintient également une transmission bien équilibrée des diverses bandes de couleurs du spectre, offrant ainsi un excellent rendu chromatique. La résistance et la dureté des couches les mettent pratiquement à l’abri des rayures, tandis que leur stabilité chimique leur assure une très longue vie.
Pour les reflex mono-objectifs ayant un miroir derrière l’objectif, on utilise habituellement comme grands-angulaires des objectifs de type rétrofocus, à focale arrière longue. En règle générale, aucun objectif ne peut conserver le même rendement optimum tout au long de sa plage de mise au point. Ceci est tout particulièrement vrai pour des objectif s à plusieurs groupes optiques très lumineux de type rétrofocus, pour lesquels l ‘altération de l’image devient prononcée en prises de vues rapprochées.
Nikon a résolu ce problème grâce à un système de mise au point unique en son genre, qui corrige automatiquement la qualité de l ‘image à faibles distances et permet ainsi d’étendre l’extraordinaire rendement des grands-angulaires Nikon d’un bout à l ‘autre de leur plage de mise au point, depuis l’infini jusqu’aux très gros plans.
La construction optique d’un téléobjectif inversé est constituée essentiellement de deux groupes optiques : l’un divergent, à 1 ‘avant, l’autre convergent, à l’arrière. La réponse de Nikon au problème de l’altération de l’image est de disposer le système convergent arrière de sorte que (1 °) les rayons lumineux passant entre les deux groupes optiques soient parallèles et (2°) que les groupes optiques se déplacent indépendamment pendant la mise au poi nt, de telle manière que chaque groupe se déplace de la distance adéquate pour que la correction d’image se fasse en fonction de la distance de mise au point.
Nikon a été la première maison d’optique à appliquer ce principe dans la fabrication courant e, dès 1967, avec l’objectif de 24 mm f/2,8. Depuis lors, deux autres grand-angulaires offrant cette même caractéristique sont sortis : le 28 mm f/2 et le 35 mm f/1,4.
Nikon a mis au point un nouveau système de photographie « motorisée » avec le F2 ou F2 Photomic. L’élément moteur de base s’adapte sur l’appareil sans aucune modification et peut prendre jusqu’à 36 images à la cadence maximum de 5 images/seconde (il existe également un modèle 7 images/ seconde disponible sur commande).
L’élément moteur peut s’ utiliser soit avec l’alimentation compacte (sans fil) , soit avec une alimentation extérieure. L’adjonction d’un dos-magasin permet la prise de 250 ou 800 prises de vues sans recharger. On peut photographier à l ‘aide de télécommandes telles que les intervallomètres ou radiocommandes Nikon . Et, dans un proche avenir, l’objectif AF-Nikkor qui a été annoncé à » Photo Expo 71 « , ouvrira la voie à la photographie sans opérateur, avec mise au point automatique.
L’élément MD-1 est le noyau de tout le système de« motorisation ». Il s’adapte parfaitement sur tout appareil Nikon F2 ou F2 Photomic sans qu’il soit même besoin d’en démonter le dos. L’élément moteur offre le choix de 5 cadences de prises de vues, plus le vue-par-vue; en outre, il réembobine le film des cartouches de la plupart des marques en 7 secondes. Un relais incorporé permet la télécommande.
Le MD-1 est doté de deux fourchettes, dont l ‘une s’emboîte dans l’axe d’avancement, l’autre assurant le réembobinage. Un petit ergot appuie sur le couplage du déclencheur de l’obturateur, situé sous l’appareil, dès qu’on actionne le bouton de déclenchement vue-par-vue, ou automatiquement, en fonction de la cadence de prise de vues affichée. Un autre ergot s’embraye avec le bouton de réembobinage de l’appareil lorsque le bouton à curseur du réembobinage de l’élément moteur est poussé vers le haut.
Dimensions approximatives : 147 x 111 x 34,5 mm.
Poids approximatif : 470 g sans alimentation compacte.
Le MD-1 se visse directement sur la semelle du boîtier, sans démontage du dos. Il suffit de dévisser et de retirer la clé O/C (= open/close = ouvert/fermé), de positionner l’élément moteur et de visser à fond sa vis de retenue à tête moletée. Le dos de l’élément moteur est doté d’un trou fileté qui reçoit alors la clé O/C. Un levier permet d’ouvrir et de fermer le dos de
l’appareil lorsque l ‘élément moteur MD-1 est monté.
Outre le vue-par-vue, le MD-1 offre le choix de 5 cadences différentes de prises de vues : H (= high = rapide), M3, M2 et M1 (moyennes) et L(= low = lente). En position H et avec des accus au Cadmium-Nickel, on peut atteindre la cadence de 5 images/seconde. On choisit la cadence en tournant la molette de sélection sur le dos de l’élément moteur. A côté de cette molette un tableau indique la vitesse la plus lente utilisable pour chacune des cadences.
En fait , le nombre d’images par seconde avec moteur, pour chacune des cadences choisies, dépend en majeure partie du type d’alimentation utilisé. Le tableau ci-dessous indique les cadences obtenues avec divers types d’alimentation (piles, accus et courant alternatif) pour chacune des cadences possibles :
Affichage de la cadence | |||||
Alimentation | H | M3 | M2 | M1 | L |
Piles au Manganèse-alcalin (15 V) et piles au Manganèse (15 V) | 4 | 3,5 | 3 | 2 | 1 |
Accus au Cadmium-Nickel (15 V) (valables aussi pour l’alimentation alternatif/continu) | 5 | 4,3 | 3,8 | 2,5 | 1,5 |
La vitesse d’obturation la plus lente utilisable pour chacune des cadences affichées est indiquée sur le tableau à côté de la molette de sélection des cadences.
Par exemple au repère « H » (rapide), la vitesse la plus lente utilisable est le 1/125, tandis qu’à « L » (lente) elle est de ¼ de seconde. Ces vitesses sont surtout valables avec alimentation à piles standard au manganèse ou au manganèse-alcalin. Au repère « H », le miroir doit être verrouillé en position haute.
Lorsque l’on tourne vers la gauche le levier de réembobinage situé au dos de l’élément moteur tout en appuyant vers le haut sur le bouton de réembobinage, le moteur se met en marche pour réembobiner le film. Pour une bobine de 36 poses, l ‘opération dure quelque sept secondes. Le réembobinaqe motorisé est possible avec les cartouches munies d’une lame de couplage aux deux extrémités de leurs axes. (Ex. : Kodak, Agfa, etc.) L’avancement et le réembobinage du film peuvent également s’effectuer manuellement à tout moment avec l’élément moteur monté sur l’appareil.
Pour plus de commodité et de facilité d’ utilisation, les principaux organes de commande sont groupés sur la tête de la poignée et au dos de l’élément moteur. La tête de poignée (élément SC) se démonte pour recevoir la télécommande.
Utilisable sur | F2 (se monte sans modifications sur n’importe quel boîtier F2) |
Cadence de prise de vues | Vue-par-vue et séquences. La cadence est variable et continue de 1 à 5 images/seconde. |
Compteur d’images | Décompteur. Gradué jusqu’à 40. Le nombre d’images à exposer est sélectionné à l’aide de la molette de préréglage du nombre de vues, de telle sorte que le moteur s’arrête automatiquement lorsque le nombre de vues sélectionné est atteint et que le compteur se trouve à zéro. Le compteur se remet automatiquement à la position de départ« S » dès qu’on appuie sur le bouton de réembobinage « R ». |
Vitesses d’obturation utilisables |
En vue-par-vue, pas de limitations. En séquence, de la ½ seconde au 1/2000. La vitesse la plus lente utilisable est fonction de la cadence choisie. Les vitesses utilisables sont indiquées au dos de l’élément moteur. |
Sélecteur S/C et déclenchement | Une fois le bouton SC réglé à S (vue-par-vue) ou C (continu), il devient possible de déclencher l’obturateur en appuyant sur le déclencheur de l’élément SC. La position « L » correspond à un verrouillage de sûreté du déclencheur. |
Réembobinage | Effectué automatiquement par le moteur en 7 s. environ ; le réembobinage manuel à l’aide de la manivelle de réembobinage est également possible. |
Télécommande | Un relais incorporé permet la télécommande par fil ou par radio. |
Alimentation | 10 piles sèches type AA ou 2 accus au Cadmium-Nickel MN-1 (15 V). Alimentation alternatif/continu disponible. Les autres sources d’alimentation en courant continu, ne dépassant pas 15 V, sont également utilisables. |
Dimensions | 147 x 111 x 34,5 mm environ |
Poids approximatif | 470 g |
Accessoires | Alimentation compacte MB-1 (se fixe sous l’élément moteur MD-1)Dos-magasin 250 vues MF-1 ; Dos-magasin 800 vues MF-2 (se montent sur le Nikon F2 une fois le dos démonté et l’élément moteur MD-1 mis en place. Ils sont dotés de deux casettes et d’un moteur individuel pour l’avancement du film alimenté par l’alimentation compacte)Accus au Cadmium-Nickel MN-1 (2 accus au Cadmium-Nickel fournissent 15 V. Ils sont logés dans l’alimentation compacte MB-1).Container pour piles sèches type AA MS-1 (Contient 10 piles sèches de type AA et se loge dans l’alimentation compacte MB-1).Cordon de télécommande SC MC-1 (Se branche sur la tête amovible SC de l’élément moteur MD-1 et permet ainsi la télécommande de celui-ci).Cordon MC-2 (3 m) (Relie l’élément moteur MD-1 à l’alimentation compacte MB-1 ou à l’alimentation alternatif/continu MA-2).Cordon spiralé MC-3 pour poignée pistolet (relie l’élément moteur à la poignée pistolet modèle 2).Cordon de télécommande MC-4 (de 1 m) (Relie un interrupteur extérieur, un intervallomètre, etc … à l ‘élément moteur)Alimentation alternatif/continu MA-2 (Fournit un courant continu 15 V. Se raccorde à l’élément moteur à l ‘aide du cordon-raccord de 3 m MC-2).Chargeur d’accus au Cadmium-Nickel MH-1 (Assure la recharge rapide de l’accu au Cadmium-Nickel MN-1)Flash électronique à répétition |
Alimentation compacte livrée avec l’élément moteur MD-1, fait partie intégrante du système de photographie motorisée. Elle peut recevoir soit dix piles sèches au manganèse ou au manganèse alcalin, soit deux accus au Cadmium-Nickel. La capacité et le rendement sont légèrement supérieurs avec les accus au Cadmium-Nickel.
Utilisé avec l ‘alimentation compacte, l’élément moteur est alimenté soit par deux accus au Cadmium-Nickel, soit par dix piles sèches du type AA (penlite). Une alimentation alternatif/continu est également disponible pour l’utilisation sur le secteur.
La tête de poignée (élément SC) du MD-1 est amovible ; on peut brancher un cordon MC-1, permettant la télécommande à des distances atteignant 3 mètres. Le cordon-raccord MC-1 est doté d’une prise à quatre broches qui s’adapte sur la partie supérieure de la poignée lorsque la tête en est démontée. La tête de poignée comportant le bouton de déclenchement et la couronne S-C s’adapte à l’autre extrémité du cordon .
Il existe également une prise à trois broches située à l’avant de l’élément moteur, prévue pour la commande à distance à l’aide d’un intervallomètre, une radiocommande ou autre système de déclenchement. Elle peut aussi recevoir un prolongateur pour une source extérieure d’alimentation .
Nikon fabrique une gamme complète d’accessoires pour la macrophotographie et la reproduction, allant des simples bonnettes aux instruments de haute précision pour la recherche scientifique. Le système comprend trois éléments à soufflets pour la macrophotographie, des bagues-allonges, des dispositifs de reproduction de diapositives, des flashes annulaires (utilisables avec l’élément de flash électronique Nikon Speedlight), un statif de reproduction ainsi que des accessoires spéciaux pour la photomicrographie et, en outre, une large gamme de viseurs et verres de visée interchangeables, de filtres et de bonnettes.
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