Caméscopes mini DV JVC

Orienté entrée et milieu de gamme, les caméscopes numériques mini DV JVC sont des appareils faciles à utiliser pour toute la famille avec de bonnes performances. Les modèles à architecture vertical sont innovants mais seront vite rattrapés par la concurrence qui ne souhaite pas laisser le terrain libre à JVC.

Si vous êtes en possession de cassettes tournées avec l’une de ces caméras vidéo, vous pouvez nous les confier pour  numériser vos mini DV.

JVC GY-DV500

Un peu à part dans la gamme de caméscopes JVC mini dv, le GY-DV500 est un caméscope qui joue dans la catégorie pro. Alors que Sony et Panasonic table sur leur version pro du format dv, JVC, un peu à la manière de Canon, fait le pari du mini dv.

Caméscopes DV verticaux JVC

JVC inaugure dans le domaine esthétique et ergonomique en proposant des caméscopes mini DV à architecture verticale JVC. Cette gamme de caméscope autorise un miniaturisation très poussée qui permet de ranger ces appareils très facilement dans un sac à main ou une boîte à gants.

JVC GR-DVX

JVC GR-DVX

Héritier du DVM1, à la brève carrière, voilà un modèle très complet. Trop peut-être, puisque l’abondance des fonctions regroupées dans un boîtier aussi miniaturisé nuit parfois à leur accessibilité.

Il reprend les caractéristiques du DV1 (dont le système de montage et de post production) auxquelles s’ajoutent essentiellement l’écran couleurs, le mode LP, la possibilité de faire des photos en rafale et le flash automatique. Il s’associe à un kit multimédia optionnel (ajoutez 2.000 F), qui comporte un boîtier d’acquisition d’images fixes pour PC et un logiciel de montage assurant le pilotage par ordinateur du couple camescope/magnétoscope. Avantage par rapport aux fonctions de post production offertes en standard : une précision au time code (effets spéciaux et volets sont conservés). Le Sony PC7E, rival direct du JVC GR-DVX intègre une prise DV. Moins riche en débrayages, ce Sony bénéficie d’une meilleure ergonomie, mais se contente d’un écran plus petit et reste en retrait côté post-production (pas de mini régie d’effets).

  • Format : Caméscope numérique miniDV pal
  • Prix : 15.000 F (2.287 €)

Les plus

  • Débrayages : mise au point, balance des blancs (+ 2 préréglages), iris. Vitesses d’obturation lentes.
  • Stabilisateur numérique+.
  • Viseur couleurs 113 kp + écran (180 kp, 6,35 cm), (+ pare-soleil).
  • Miniaturisation (500 g) et hyper compacité.
  • Effets spéciaux en enregistrement : 18 volets et fondus+ 12 effets. En lecture : 5 effets et 18 volets et fondus. Intervallomètre. Retardateur. Modes Photo + photos en rafale. Zoom × 100.

Les moins

  • Base multimédia en option.
  • Pas de sortie DV.
  • Pas grand angulaire.
  • Accès peu ergonomique aux réglages.

Verdict JVC GR-DVX

Primé par le jury européen EISA, il possède un fort potentiel de montage et de très nombreuses fonctions de tournage. Il pèche surtout par un accès malaisé aux réglages et l’absence de prise DV.

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JVC GRDV1 Ltd

JVC GR-DV1

Proposé désormais en version Gold, avec deux sacoches en cuir signées Le Tanneur, le fameux GR-DV1 est devenu JVC GR-DV1Ltd. Glissé dans sa pochette de transport suspendue au poignet, il n’alerte pas les pickpockets et n’encombre pas. Bref, c’est l’anti camescope-boulet.

Très complet, il intègre une table de montage 8 séquences. Elle permet de programmer 18 effets spéciaux et volets en lecture, dont le fondu-enchaîné sur image gelée. Une fonctionnalité partagée par le DVX. Le DV1 se distingue de ce dernier par l’absence d’écran, de flash et de mode longue durée. Enfin, son autonomie est deux fois moindre. En revanche, les avantages de la miniaturisation sont ici plus évidents. Ce modèle n’est pas fourni avec les extensions multimédia du DVX, mais on peut acquérir séparément le logiciel de montage pour PC (environ 900 F) et la carte d’acquisition (2.000 F). Ses handicaps, pas de prise DV pour une copie de numérique à numérique sans perte et un accès aux fonctions peu ergonomique.

  • Format : Caméscope miniDV Pal.
  • Prix : 13.000 F (1.982 €)

Les plus

  • Débrayages : mise au point, balance des blancs (+ 2 préréglages), iris. Vitesses d’obturation lentes.
  • Stabilisateur numérique+.
  • Compact (43 × 148 × 88 mm, 460 g).
  • Viseur couleur 113 kp.
  • Effets spéciaux : en enregistrement. 18 volets et fondus+ 12 effets spéciaux. En lecture, 5 effets et 18 volets et fondus. Intervallomètre. Retardateur. Mode Photo. Zoom ×100.
  • Pause parfaite, ralentis.
  • Zoom x10 en lecture.
  • Montage par mémorisation de 8 séquences, avec volets et effets en lecture.
  • Doublage son.
  • Base multifonction fournie (montage analogique, animation … ).
  • Sac de transport fourni.

Les moins

  • Pas de sortie DV.
  • Ergonomie en mode manuel.
  • Autonomie limitée (20 à 30 minutes).
  • Pas de vitesse lente d’enregistrement.
  • Définition du viseur.

Verdict JVC GRDV1 Ltd

Sorti avec la première vague de caméscopes numériques, le DV1 reste bien placé par rapport à la concurrence. Certaines de ses fonctions de post-production restent encore sans équivalent.

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JVC GR-DVJ70

JVC GR-DV1

Sous cette référence se cache un modèle bien connu, le GR-DV1, premier mini DV « à architecture verticale ». Pourtant, ce camescope simplement rebaptisé créé l’événement en affichant le premier un prix très compétitif pour du DV.

Les différences avec son alter ego ? Tandis que le DV1 multiplie les possibilités de montage et de post-production le JVC GR-DVJ70 se cantonne à la seule prise de vues. Il perd surtout le doublage son, l’animation, mais aussi les effets en lecture, le montage programmé, la prise de synchro édition et la sortie Y/C (la sortie composite audio/vidéo reste disponible sur l’appareil). Bon, pas de gros regrets, la base multifonction, qui assure ces opérations, est proposée en option (2.000 F). Principal concurrent à prix égal : le Sharp VLDC1S. Doté de fonctions un peu plus facilement accessibles, il affiche un confortable écran en lieu et place du viseur. En revanche, il perd en miniaturisation. Mais surtout, il reste fermé à un montage évolué, (même, via un accessoire optionnel) étant dépourvu de prise de synchro édition. Dans les deux cas, pas de sortie DV.

  • Format : Caméscope numérique miniDV.
  • Prix : 10.000 F (1.524 €)

Les plus

  • Débrayages : mise au point, balance des blancs (+ 2 préréglages), iris. Vitesses d’obturation lentes.
  • Stabilisateur numérique+.
  • Miniaturisation. C’est le plus petit et le plus léger du marché (43 × 148 × 88 mm, 460g).
  • Viseur couleurs 113.000 pixels.
  • Effets : en enregistrement. 18 volets et fondus + 12 effets spéciaux. Retardateur. Mode Photo. Zoom ×100.
  • Pause parfaite, ralentis.
  • Prises micro et casque.

Les moins

  • Base multifonction en option (pour le montage analogique, l’animation, le doublage son, les effets en lecture et les prises de synchro édition et Ushiden).
  • Pas de sortie DV.
  • Ergonomie en mode manuel.
  • Autonomie limitée.
  • Pas de vitesse lente d’enregistrement
  • Définition du viseur.

Verdict JVC GR-DVJ70

JVC GR-DVX4

JVC GR-DVX4

Héritiers du JVC GR-DVM5, les JVC GR-DVX4 et JVC GR-DVX7 se démarquent de leur prédécesseur par une vocation photo plus affirmée. En témoigne, le flash automatique doté d’un réducteur d’yeux rouges.

Mais aussi la base fournie comportant la prise RS232 pour liaison directe avec un PC, associée aux différents logiciels de retouche. Ajoutez enfin, sur le DVX7, la possibilité de capturer des images à la résolution VGA (640×480 pixels) sur une carte mémoire flash de 4 Mo, intégrée. La batterie très fine, à l’autonomie convenable (jusqu’à une cinquantaine de minutes en tournage réel) se confond avec le boîtier pour lui donner un look très high-tech. Enfin, ce caméscope numérique délivre une image supérieure à celle des précédents mini de la marque : « piqué », teintes joliment restituées, y compris avec le stabilisateur qui bénéficie des 800.000 pixels du capteur. Les automatismes sont corrects et la sensibilité moyenne. Mais, malgré une ergonomie en partie repensée, les réglages restent peu accessibles. De plus, le micro intégré capte davantage les bruits de fonctionnement que chez ses rivaux « verticaux ».

  • Dim./Poids : 48×119×89 mm. 420/440 g nus.
  • Format : miniDV Pal
  • Prix : 10.000 F (1.524 €)

Les plus

  • Débrayages : mise au point, balance des blanc (+ 3 préréglages), exposition, obturateur rapide, lent 1/12, 1/5 s, compensation contrejour. Mode AE crépuscule.
  • Sortie DV.
  • Stabilisateur numérique+.
  • 500 points-ligne.
  • Viseur couleur + écran 180 kp, 6,35 cm.
  • Carte mémoire (DVX7).
  • Flash anti-yeux rouges.
  • Enregistrement SP/LP.
  • Effets spéciaux en enregistrement : 18 volets et fondus + 12 effets. En lecture : 5 effets et 18 volets et fondus. Zoom numérique ×100. Zoom ×10 en lecture. Intervallomètre. Retardateur. Modes Photo + photos en rafale, multi-image.
  • Prise RS232 + carte de capture intégrée.
  • Autonomie 7 h en option.
  • Ralentis, pause.
  • Montage par mémorisation de 8 séquences, avec des volets et effets en lecture.
  • Enregistrement audio 12 et 16 bits.
  • Doublage son.
  • Prises de montage mini-Jack, JLIP.
  • Kit de capture PC et de montage JLIP (pilotage par ordinateur) + logiciels de retouche.

Les moins

  • Pas de grand-angle.
  • Réglages activables par menu, pas pratique.
  • Micro intégré insuffisamment isolé.

Verdict JVC GR-DVX4

Le DVX4 est compétitif face au Sony PC2 à 12.000 F et il peut arguer de sa vocation multimédia devant les canon MV20 et Panasonic EX3 à 10.000 F. Mais, le DVX7 a du mal à s’imposer face au Sony PC3, plus performant à certains égards et doté comme lui d’une carte mémoire flash.

CV 133s

JVC GR-DVM5

JVC GR-DVM5

Désormais « ancien » puisqu’il accuse plus d’un an, ce caméscope numérique DV miniature s’avère moins performant que son successeur, le JVC GR-DVX4.

Proposé au même prix, ce dernier l’emporte tant pour la qualité d’image, que pour les performances globales. L’image affiche cependant une belle colorimétrie et la définition atteint les 450 points-ligne. Grâce à l’augmentation automatique du gain en basse lumière, la sensibilité est acceptable pour du DV. L’autonomie, environ 40/50 minutes en tournage réel, se situe dans la moyenne des modèles à architecture verticale. Le JVC GR-DVM5 accepte des batteries longue durée optionnelles. On lui reproche surtout un accès peu intuitif aux réglages. L’exploitation directe en montage est facilitée par un éditeur 8 séquences intégrées. Compatible avec de très nombreuses marques de magnétoscopes, celui-ci permet de programmer au montage les volets et effets disponibles en lecture sur le camescope. Le kit multimédia pour le traitement des images fixes sur PC et le pilotage informatisé des lecteurs et enregistreurs (99 séquences) est optionnel (HSV4, environ 690 F).

  • Dim./Poids: 47 × 135 × 81 mm. 450 g nu.
  • Format : mini DV Pal.
  • Prix : 10.000 F (1.524 €).

Les plus

  • Débrayages : mise au point, balance des blancs (+ 3 préréglages), exposition, verrouillage de l’iris, obturateur rapide (1/500 s), lent (1/12, 1/5 s).
  • Sortie DV.
  • Stabilisateur numérique+.
  • Viseur couleur 113 kp + écran 180 kp, 6,35cm.
  • Miniaturisation.
  • Enregistrement SP/LP.
  • Effets spéciaux en enregistrement : 18 volets et fondus + 12 effets. En lecture : 5 effets et 18 volets et fondus. Intervallomètre. Retardateur. Modes Photo + photos en rafale. Zoom ×100.
  • Zoom ×10 en lecture.
  • Ralentis, pause.
  • Montage par mémorisation de 8 séquences, avec des volets et effets en lecture.
  • Enregistrement audio 12 et 16 bits.
  • Doublage son.
  • Prises de montage mini-Jack et JLIP.

Les moins

  • Base multimédia en option. Kit de montage et capture image fixe sur PC en option.
  • Pas de grand-angle.
  • Réglages peu intuitifs.

Verdict JVC GR-DVM5

Un peu ancien, il est relayé chez JVC par le DVX4, plus performant et au même prix… Cela dit, il procure des résultats satisfaisants et peut tout à fait valoir le coup si vous le trouvez en promotion.

CV 133s

Caméscopes mini DV de paumes JVC

La gamme de caméscopes numériques de paumes JVC se veut avant toute chose familiale. Elle s’adresse à toutes les bourses du caméscope numérique bon marché au caméscope à tout faire. Il lui manque cependant les modèles très sophistiqués que l’on trouve chez Canon ou Sony.

JVC GR-DVL9600

JVC GR-DVL9600

Le JVC GR-DVL9600 est le premier camescope numérique miniDV à être livré d’emblée avec un système de montage virtuel pour PC : le Studio DV de Pinnacle.

Une offre logique puisque le modèle phare JVC possède une entrée/sortie DV. Innovant, il est le seul à savoir enregistrer 100 images par seconde, ce qui permet de décomposer un geste rapide lors d ‘une lecture au ralenti (sur demi écran seulement). Pour le reste, il combine : capteur Progressive Scan, photos en rafale, multi-image, flash anti-yeux rouges et vaste écran de contrôle. La résolution dépasse les 500 pts-ligne et la colorimétrie ni trop chaude, ni trop froide est bien équilibrée en intérieur comme en extérieur ; l’autofocus se montre très efficace, même en faible lumière. Mais, il faut passer par des menus pour accéder aux nombreux débrayages. Dommage. On retrouve l’éditeur de montage avec effets et volets et rien n’interdit de capturer des images fixes sur PC ou de piloter son montage par ordinateur (kit fourni). Le GR-DVL9500, jumeau du JVC GR-DVL9600, se contente de la seule sortie DV et n’est pas livré avec le Studio DV.

  • Dim./Poids : 72×94×128 mm. 700 g avec batterie et K7.
  • Format : miniDV Pal
  • Prix : 15.000 F (2.287 €)

Les plus

  • Débrayages : mise au point, balances des blancs (+ préréglages), iris. Obturateur rapide avec vitesse lente (1/25 s). Modes AE.
  • Sortie DV (+ entrée pour le DVL9600).
  • Progressive Scan.
  • Environ 500 pts-ligne.
  • Viseur couleur 113.000 pixels+ écran 10 cm 112.000 pixels.
  • Stabilisateur numérique+.
  • Enregistrement d’image à haute vitesse.
  • Enregistrement SP/LP.
  • Enregistrement audio 12 bits ou 16 bits.
  • Doublage son .
  • Flash incorporé.
  • Effets spéciaux : en enregistrement, 18 volets et fondus + 12 effets spéciaux. En lecture, 5 effets et 18 volets et fondus. Intervallomètre. Retardateur. Mode Photo.
  • Zoom ×10 en lecture.
  • Montage par mémorisation de 8 séquences, avec fondus, volets et effets.
  • Prises de montage mini Jack et JLIP.
  • Prise RS232 + carte de capture images fixes DV intégrée.
  • Livré avec le Studio DV de Pinnacle (pour le DVL9600)
  • Kit de capture PC et de montage JLIP (pilotage par ordinateur) + 3 logiciels de retouche Presto, fournis.

Les moins

  • Réglages manuels pas pratiques.
  • Pas de grand-angle.

Verdict JVC GR-DVL9600

Le GR-DVL9600 est un achat sécurisant pour qui souhaite se lancer dans le montage virtuel. Le Studio DV fourni est en effet optimisé pour le camescope. Celui-ci possède par ailleurs une fiche technique impressionnante et une très belle qualité d’image.

CV 133s

JVC GR-DVL20

JVC GR-DVL20

Mêmes prix en crescendo pour les trois caméscopes numériques DV de cette gamme que pour les Digital 8 avec écran. Comme les Sony TRV110, 310 et 410, les JVC GR-DVL20, 30 et 40 de JVC se distinguent surtout par les tailles d’écran, ici : 6,35, 7,6 et 9 cm de diagonale.

Le DVL40 arbore en outre un viseur couleur et non noir et blanc. Les deux haut de gamme intègrent une torche, qui s’active automatiquement en faible lumière. Un accessoire bienvenu, dans la mesure où la sensibilité est médiocre. A noter le zoom optique ×16, plus puissant que celui des « hyper compacts ». Pas de semi grand-angle, en revanche. Les trois modèles sont dotés d’un stabilisateur numérique évolué exploitant un capteur 800.000 pixels. Ils sont livrés avec le kit de pilotage et d’acquisition d’images fixes sur ordinateur, HSV4. Le montage par mémorisation de 8 séquences peut aussi s’effectuer, via la télécommande. Contrairement aux DVF1 et 10 les prédécesseurs immédiats, leur batterie est au Lithium-Ion (à l’instar de tous les autres DV) et non au Ni-Cd. Tant mieux. Elle dure environ 40 minutes en tournage réel.

  • Dimension/poids : 188 × 118 × 88 mm. 690 g et 700 g.
  • Standard : miniDV, Pal.
  • Prix : 7.000 F (1.067 €).

Les plus

  • Débrayages : Mise au point, balance des blancs, expo., verrouillage iris, obturateur rapide, (jusqu’à 1/500s), lent (1/12 et 1/5 s), Mode crépuscule.
  • Sortie DV.
  • Stab. numérique+.
  • 500 points-ligne.
  • Viseur noir et blanc (couleur pour le GR-DVL40) + écran 6,35 cm, GR-DVL20 ; 7,6 cm, GR-DVL30 et 9 cm, GR-DVL40.
  • Enregistrement SP/LP.
  • Effets spéciaux en enregistrement et certains en lecture : noir et blanc, sépia, stroboscope, écho vidéo, cinéma, film classique + une quinzaine de volets et fondus, dont le fondu enchaîné. Zoom num. ×160. Zoom ×4 en lecture. Modes Photo + photos en rafale, multi-image.
  • Prise RS232.
  • Autonomie jusqu’à 8,5 h en option.
  • Ralentis, pause.
  • Montage par mémorisation de 8 séquences, sur magnétoscopes multi-marques avec volets et effets programmables.
  • Enregistrement audio 12 et 16 bits.
  • Doublage son.
  • Prises de montage mini-Jack, JLIP.
  • Kit de capture PC et de montage JLIP* (pilotage par ordinateur) + logiciels de retouche.

Les moins

  • Pas de prises micro et casque.
  • Réglages activables par menu, pas pratique.

Verdict JVC GR-DVL20

JVC semble avoir calqué sa gamme sur celle des D8 à écran. Il oppose aux Sony des torches intégrées et fournit un kit de capture d’images fixes pour PC. Autres arguments : le doublage son et le système de montage.

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JVC GR-DVL157EG

JVC GR DVL157

Comme sur une écrasante majorité de caméscopes numériques DV, les principaux réglages image sont au rendez-vous : mise au point, exposition, balance des blancs mémorisable et préréglable sur trois pour le JVC GR-DVL157EG (intérieur et extérieur soleil ou nuageux).

Il intègre une touche de compensation du contre-jour pour déboucher rapidement un sujet devant une fenêtre par exemple.

Confort d’utilisation

Le seul ici à se contenter d’un viseur noir et blanc… Son écran compte 112 kp, comme ceux des Panasonic et Canon. La durée de la batterie fournie est la plus faible du groupe : un peu plus d’une heure en continu.

Automatismes et réglages

L’accès aux réglages, plus discutable que sur les Sony et Canon, l’emporte sur le Panasonic. La gestion des hautes lumières n’est pas optimale (fromage blanc avec les forts éclairages), mais il dispose d’une fonction de verrouillage de l’iris pour contourner cet inconvénient. 4 modes AE.

Capteur et zoom

Un capteur 800.000 pixels assisté par un processeur à large bande qui a fait ses preuves. Mais, toujours pas de grand angulaire : focale minimum proche de celle du Canon.

Qualité d’image

Quelque 520 points-ligne de définition horizontale, une performance étonnante pour une entrée de gamme. Des couleurs bien saturées. En revanche, ce modèle reste à la traine en terme de sensibilité.

Capacité audio

L’enregistrement audio est correct, même si l’on perçoit un léger bruit de fonctionnement et que le niveau d’enregistrement n’est pas le plus sonore. On regrette l’absence d’entrée micro et de sortie casque. Comme ses concurrents, l’appareil offre le doublage son et l’enregistrement en 12 et 16 bits.

Potentiel de montage

Une entrée DV, mais pas d’entrée analogique. Le JVC GR-DVL157EG exploite par ailleurs, comme tous les autres DV de la marque, un éditeur de montage 8 séquences pour réaliser un montage de bande à bande. Il est possible de programmer des effets et des transitions.

Autres fonctions

Accessoire annexe dont sont dépourvus les concurrents : la torche. Elle lui permet, pour les sujets proches, de compenser largement le manque de sensibilité. A noter, le Nightscope et les très nombreux volets et fondus : 17 en tout.

Qualité/prix JVC GR-DVL157EG

A la tête du peloton « résolution d’image » et assez bien placé pour la restitution audio, le JVC compense à sa manière ses faiblesses en autonomie et ergonomie.

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